Nom : Hakari
Prénom : Kinkou
Âge : 29
Sexe : M
Décrivez votre perso physiquement et moralement :
Taille/Poids : 1m86
Groupe sanguin : B-
Couleur de cheveux : Blancs
Couleur des yeux : Émeraude
Description Morale : (Minimum 3 lignes)
De son vivant Hakari a toujours été passionné par le surnaturel et par ce qui est différent. Il organisait des soirées entre gentleman, buvait du thé avec d'autres personnes tout en s'adonnant à son passe-temps morbide : visiter des cimetières les soirs de pluie. Il est très friand des histoires paranormales, surnaturelles et horrifique. Aussi à chaque fois qu'un meurtre ou qu'une disparition inexpliquée se produisait il s'arrangeait pour être le plus vite possible sur les lieux et observer la scène. Il était qualifié de fou par certains, de malade par d'autres, de psychopathe même. Il a même été interrogé à plusieurs reprises, la police se demandant s'il n'avait pas quelque chose à voir dans ses meurtres.
Pourtant, quand on le connaît, on sait qu'il s'agit d'un homme patient et à l'écoute qui a seulement une passion assez étrange. Il est de nature curieuse et se force à voir des gens pour rompre avec la solitude. Bien qu'il soit casanier de nature il déteste se retrouver seul trop longtemps, en particulier lorsqu'il se retrouve face à ses pires ennemis : les créatures avec six pattes ou plus. Cette phobie lui vaut des réactions plus que risibles et le met dans des situations assez cocasses. Ainsi lorsqu'un Hollow possède trop de pattes à son goût il essaye de refiler le boulot à quelqu'un d'autre. Il arrive cependant parfois à surmonter sa frayeur et éliminer l'adversaire.
Description Physique : (Minimum 3 lignes)
C'est un homme qui aimait s'habiller en gentleman et porter des vêtements élégants. Il avait l'habitude des chemises, des vestes longues tombant à ses pieds et faites sur mesure, des pantalons à rayure et surtout des hauts de forme extravagant. Toujours posé sur ses longs cheveux blancs tombant au niveau de ses cuisses, les mèches cachant en partie ses yeux émeraudes et la cicatrice qu'il a en travers du visage, allant du bas de l'oreille droite vers le haut de l'oreille gauche. Cet homme possède un sourire à la fois carnassier, cynique et ravageur qu'il aime utiliser de façon fourbe.
Depuis qu'il est mort il est obligé de se contenter de la tenue des Shinigami en quasi toutes circonstances. En effet lorsqu'il se retrouve enfin seul il renoue avec son passé et ses habits d'antan, allant même jusqu'à remettre ses bottes à talonnettes. Il reste alors sur son bureau à boire du thé et parler tout seul jusqu'à pas d'heure.
Informations personnelles :
Date de naissance : 10/10/1865
Lieu de naissance : Londre
Date du décès : 30/11/1893
Biographie : (Minimum 10 lignes et en décrivant bien, et si votre perso est très important, une vingtaine.)
Hakari Kinkou est né d'un père japonais et d'une mère londonienne dans la belle ville de Londre, il a vécu ensuite dans le luxe. Ses parents lui achetaient ce qu'il souhaitait, leur fortune leur permettant de balancer leur argent à volonté. Ainsi l'unique héritier de la famille Kinkou était un enfant gâté, obtenant ce qu'il désirait, allant dans les plus prestigieuses écoles, portant des ensembles sur-mesure. Il restait néanmoins quelqu'un d'étrange, assez vite sa passion pour le morbide a fait surface, pour être exact le jour ou ses parents se sont faits assassinés dans une ruelle de Londre. Lui était chez lui pendant que ces derniers étaient sorti au théâtre. Le jeune garçon avait alors 15 ans lorsque ses parents ont été sauvagement tués. Les policiers avaient décrit ce meurtre comme étant d'une rare violence et surtout inexpliqué. Certains parlaient d'un démon aux yeux de feu qui se serait enfuit des lieux, d'autres d'un taré avec un sabre bien que l'autopsie démontre que la mort est dû à des traces de griffes. Le meurtrier n'a jamais été arrêté et l'affaire a été classée.
Hikari a assez vite oublié cette histoire, mais il s'est renfermé à la suite de cette affaire. Il s'est intéressé pendant des années aux sciences occultes, au paranormal, aux faits inexpliqués, aux fantômes et autres mythologies dans l'espoir de retrouver le meurtrier de ses parents au départ. Puis au fur et à mesure, cette quête de l'inexplicable devint une lubie, un passe-temps. Peu à peu ses journées ne ressemblaient plus qu'à une chose : boire du thé en parlant avec le « fantôme » de ses parents devant leur tableau, accueillir des invités inconnues pour une « Tea Party » ou encore pour des séances de spiritisme et enfin parcourir les scènes de crimes. Il était devenu détective consultant spécialisé dans les meurtres inexpliqués, bien que personne n'aille le consulter directement il s'incrustait sur toutes les scènes de crimes sortant du commun.
Sa présence sur les scènes de crimes le rendit suspect sur de nombreux meurtres aux yeux de Scotland Yard, mais il n'était jamais inculpé, après tout il ne faisait que participer à l'élucidation de ces mystères. Pourtant, en 1888, il faillit être condamné, à cette époque sévissait le tristement célèbre Jack l'Eventreur et comme à son habitude Hakari venait fouiner sur les scènes du crime. Seulement lors du cinquième meurtre, la police l'arrêta, il était arrivé avant eux sur les lieux et ces derniers trouvaient ça suspect. Il fut interrogé puis relâché faute de preuve.
Cette histoire ne lui servi cependant pas de leçon, il continua de se mêler des enquêtes qui ne le regardait en rien. Jusqu'à ce jour de 1893 où il reçu une balle. Il avait suivi la piste de pilleurs de banque et avait trouvé leur repère, il souhaitait ramener une preuve concrète à Scotland Yard mais l'un des voleurs le surpris et l'élimina. Il se releva cependant sous forme d'esprit, n'ayant pas pu accomplir ce qu'il souhaitait. Un Shinigami arriva quelques temps après et l'aida à atteindre la Soul Society. À la suite de ça ses compétences furent remarquées et il intégra le Gotei 13 au sein de la 3ème division.
Division souhaité : 3 ème division
Description du Zanpakutoh : Bakashi Wobbuffet
Son sabre est un katana à double lame dont la poignée est noire et blanche (et ressemble au signe du ying et yang).
Shikai : Herase, Bakashi Wobbuffet ! (Réduis, Bakashi Wobbuffet)
Effet 1 : Le côté noir du sabre est en forme de point d'interrogation. Tout ce qui entre en contact avec cette lame (qui reste coupante comme un sabre), perd du facteur chance. Petite explication : plus la personne est touchée de ce côté, plus il devient maladroit.
Effet 2 : Le côté blanc de l'arme est en forme de point d'exclamation. Lorsqu'il touche une personne, celle-ci perd de l'intelligence. Le cerveau se ralentit et les activités cérébrales s'endorment.
L'idée sur les pouvoirs du Shikai n'est pas de moi mais je l'ai trouvé très intéressante, j'espère donc que l'on ne m'en tiendra pas rigueur ^^
Bankai :
Je sais qu'on n'obtient pas le Bankai maintenant et qu'il faut un poste à part mais est-ce que je mets quand même sa description ici ?
Voici donc la description :
Sabakite, Bakashi Wobbuffet ! (Juge, Bakashi Wobbuffet)
Son bankai fonctionne comme une balance, plus l'on reçoit de coups, plus la gravité autour de nous est élevée et inversement. La gravité augmente lentement et fonctionne dans les deux sens, ainsi cela peut se retourner contre l'utilisateur s'il ne fait pas assez attention. Ce bankai est à double tranchant et il est conseillé de l'utiliser après avoir réduit suffisamment les capacités de son ennemi. Il possède également une capacité spéciale nommée « Jugdement » ( Sabaki ) qui ne peut-être utilisée que contre quelqu'un dont les intentions sont mauvaises. Cette capacité permet à l'utilisateur d'obtenir un avantage dans la balance, aussi des poids seront rajoutés du côté de l'ennemi si les conditions sont remplies, augmentant de base la gravité à ses côtés. Si cette capacité est utilisée contre quelqu'un d'autre elle se retourne contre l'utilisateur et il partira avec un handicap.
Avez-vous lu les règles : Aizen a mangé un bretzel nommé Ichigo ou J'ai lavé le sol avec du Bleach. Ça marche, c'est prouvé ! ? Faut savoir :p
PS : Étant écrivain à mes heures je suis contre l'utilisation de couleurs, mais je rendrais mes dialogues clairs malgré tout ^_^
Test Rp: (Nombre de lignes a définir, en rapport avec l'importance de votre personnage par un Administrateur, ne pas le réaliser avant.)
Cette histoire n'est pas celle de ma vie, mais bien celle de ma mort. Si je vous raconte ceci aujourd'hui c'est que je suis bien en vie, mais je ne suis plus le même qu'avant. Je vais vous expliquer la tragédie dont j'ai été victime. C'était en fin du mois de novembre, les journées étaient froides et je n'avais pas eu d'enquêtes depuis quelques temps. Mais enfin j'avais des informations sur un gros coup, au titre du journal du jour : « Braquage ». Le journal parlait d'un vol de plusieurs milliers de livres sterling, mais le détail le plus intéressant restait le fait que ce braquage ait eu lieu sans avoir forcé aucune serrure.
Je prends mon manteau en vitesse, il fallait que je vois ça de mes propres yeux, un braquage aussi mystérieux qu'un meurtre en chambre close, voilà ce qu'il me fallait. Je descendis les escaliers de mon immeuble en vitesse et pris ma voiture. L'héritage de ma famille m'avait beaucoup aidé pour m'acheter ce petit bijou de technologie. J'arrivais en vitesse à la banque et j'écoutais les inspecteurs parler avec le directeur. Ils parlaient beaucoup et ne disaient pas grand-chose d'intéressant, je décidais donc de les contourner pour essayer de m'approcher du coffre. C'était vraiment phénoménal, il n'y avait vraiment aucune trace de serrure forcée. Ils avaient forcément les clefs dans ces conditions. Je me devais de découvrir comment ils avaient pu récupérer ces dernières. Une fois l'inspecteur parti j'approchais le directeur de la banque avec la ferme intention d'essayer de lui soutirer un maximum d'information.
« -Bonjour, je suis Haraki Kinkou, je suis détective spécialisé dans les crimes inexpliqués. Je sais que Scoland Yard est totalement perdu sur une affaire pareille, mais moi je peux vous aider. Accepteriez-vous de répondre à quelques questions ?
-Bonjour. Écoutez détective, je n'ai pas de temps à perdre avec tous les consultants de la ville. De toute façon je n'ai pas de quoi vous payer. Alors, allez-vous en et laisser la police faire son travail je vous prie. répondit l'homme assez froidement.
-Je ne vous demande pas de me payer, juste de répondre à mes questions. insistais-je.
-Si vous insistez alors... Mais faites vite. J'ai beaucoup de clients à rassurer. expliqua l'homme avec un air toujours nonchalant.
-Ne vous inquiéter pas. J'aimerais savoir qui possède la clef du coffre ou éventuellement un double. Et s'il manquait une clef ou un double justement. Demandais-je en observant le directeur attentivement.
-Je suis le seul à avoir une clef ici et je peux vous assurer qu'elle n'a jamais quittée ma poche. Et je vous arrête de suite, non je n'ai pas braqué ma propre banque. rétorqua ce dernier.
-Je n'ai en aucun cas soupçonné une telle chose. Vous ne vous séparez donc jamais de vos clefs ? Quelqu'un aurait pu en faire un double sans que vous le sachiez. proposais-je.
-Non, je ne les sors de ma poche que lorsque je dois ouvrir le coffre. Même lorsque je rentre chez moi elles restent dans ma poche. Quoiqu'il en soit vous m'ennuyez avec vos questions. Allez-vous-en. Je n'ai pas besoin de perdre davantage de temps. »
Il partit dans la foulée me laissant seul, je restais pourtant persuadé que les clefs étaient l'indice qui me permettraient de résoudre cette affaire. Je décidais donc de partir faire un tour vers la maison du directeur, après tout s'il travaillait il ne risquait pas de rentrer à l'improviste non ? Je retournais en voiture et arrivait devant sa maison après avoir noté son adresse. Je fus alors témoins d'une scène peu banale. La femme du directeur discutait avec un homme en noir. Je ne pouvais entendre leur conversation, mais il semblait qu'il y ai quelque chose de mauvais derrière tout ça. L'homme en noir monta dans sa voiture et la femme du directeur le suivi. Je n'allais peut-être pas visiter la maison de suite finalement. J'attendis que le véhicule parte et je démarrais pour partir en filature. Je devais en apprendre davantage sur cet homme et sur ce qui se tramait.
A de nombreuses reprises je dus ralentir pour ne pas montrer que je les suivais, leur laissant le temps de prendre un peu d'avance. Mais finalement j'arrivais à un entrepôt, je me garais un peu plus loin et approcha à pied. Observant l'homme en noir et la femme entrer à l'intérieur, j'attendis un peu avant de faire de même. Prenant bien soin d'avancer prudemment en regardant autour de moi. J'arrive alors prêt d'une salle ou plusieurs voix s'élèvent. Celle de la femme est celle que j'entends le plus.
« -Tout s'est passé comme prévu, les alarmes ont bien été dés-enclenchées et la clef nous a permis de tout dérober. dit une voix d'homme.
-Bien, dans ce cas nous allons pouvoir partager cet argent que nous avons bien mérité. Je n'aurais pas pensé que mon mari se laisserait berner de cette façon. J'ai accès tellement facilement à ses clefs, le double qu'on possède nous a été très utile pour cette fois. Nous allons cependant vite devoir disparaître avant que la police ne fasse le lien. expliqua la femme. »
J'avais donc bel et bien raison, la clef était l'indice pour la résolution de l'enquête. Je pouvais donc rentrer et expliquer à la police la où il trouverait les pilleurs. Je prends la direction de la sortie quand la porte s'ouvre devant moi, un homme me regarde. La femme lui fait signe tandis que les autres se partageaien l'argent. L'homme en noir qui me regardait s'approcha, pointant son arme. Un coup de feu retenti alors.
Douleur, infinie douleur. Je sombre lentement, je tombe à la renverse. La chute me paraît éternelle, était-ce finalement l'heure ? Mes yeux sont grands ouverts, on peut encore y lire ma surprise tandis que mon coeur commence à ralentir. Le sang vient couler sur mon front et mes joues, je le sens un peu, c'est froid, j'ai si froid. Mon corps s'engourdit et tout devient noir, c'est la fin, définitivement. Voilà l'enquête de trop qui avait eu raison de moi. Mon corps était sans vie dans cet entrepôt, mon coeur venait finalement de s'éteindre. Pourtant, lorsque je me réveille je suis bel et bien dans le monde réel. Pourquoi suis-je la ? Suis-je vivant ? Je me relève difficilement, je n'ai pas les idées claires sur ce qu'il vient de se passer. Je regarde autour de moi, je suis dans l'entrepôt. Il est vide. Plus aucun bruit autour de moi. Combien de temps est passé depuis cet instant ? Je marche et finit par sortir, regardant autour de moi. Je vois un homme lisant le journal du jour, la date n'a pas changé. Je suis donc resté inconscient seulement quelques heures ? Je regarde à nouveau autour de moi puis-je baisse les yeux. Je ne l'avais pas remarquée, cette chaine sur mon torse.
Depuis quand était-elle la ?À quoi correspondait-elle ? Je me posais maintes et maintes questions et partis en direction du poste de police le plus proche. Il fallait que je parle de l'agression, si apparemment je m'en sortais sans séquelle il fallait profiter de l'occasion pour dénoncer ces voleurs. J'arrivais assez rapidement au niveau d'un centre de police, mais au moment de poser la main sur la poignée elle la traversa. Je fus pris de panique dans l'instant, essayant à nouveau puis avançant en essayant de frapper la porte du pied, passant tous simplement au travers et tombant à la renverse. Je ne voyais qu'une seule explication à ce phénomène. J'étais mort, je n'avais pas survécu et je n'avais pas rêvée cette balle qui avait transpercée mon crâne.
J'étais resté sur terre parce que je n'avais pas pu achever mon enquête et pourtant je me retrouvais dans l'impossibilité de finir ce que j'avais entrepris. J'étais perdu et je ne savais pas ou aller ni comment faire. Je retournais sur ses pas, marchant dans la rue, quelqu'un me traversant et je me mis à penser à ma vie d'avant. Qui irait me pleurer ? Mes parents étaient morts, je n'avais pas réellement d'amis, la plupart de mes invités ne me connaissaient pas du tout et ne venait qu'une fois. J'étais seul et coincé sur cette terre. Je fus alors paralysé en entendant un cri strident et affreux. Un monstre surgit derrière moi, me forçant à courir pour prendre la fuite. Que me voulait-il ? Pourquoi m'attaquait-il ? Et surtout de quoi s'agissait-il ? C'était un monstre hideux avec un masque blanc et surtout il avait huit pattes !
Qu'il soit plus grand que moi ou qu'il porte un masque digne d'halloween passe encore, mais qu'il ait en plus autant de pattes c'était bien trop pour moi. Je prenais la fuite, essayant d'appeler à l'aide et j'arrivais finalement dans une impasse. Un autre monstre se tenait devant moi, l'autre se tenait derrière moi. J'étais fini. Je venais à peine de quitter le monde des vivants que j'allais aussi quitter le monde des morts. J'entendis alors quelques mots.
« Char rugissant. Brèche du rouet. Que la lumière sépare en six ! Bakudō no rokujū ichi : Rikujōkōrō »
L'un des deux monstres fût alors immobilisé, l'autre leva la main dans ma direction et n'eut pas le temps de l'abaisser. Un sabre venait de transpercer son masque, le tranchant en deux. C'était une femme qui venait de faire ça, une femme dans un kimono noir. Elle sauta dans l'autre direction aussitôt pour éliminer l'autre monstre en un instant. J'admirais totalement son style, elle était à la fois si belle et si forte. Je la regardai bouche bée tandis que les deux créatures se désagrégeaient. Elle s'approcha alors de moi avec un sourire réconfortant.
« - Tu n'as pas à t'inquiéter, à partir de maintenant tu vas vivre dans un endroit merveilleux. Je suis sur que tu te plairas à la Soul Society. »
Elle s'approcha de moi, le pommeau de son sabre dans ma direction, je la regardai à la fois surpris et ravi. Bien que je ne comprenais pas tout ce qu'il se passait, je m'autorisai une question.
« -Est-ce que je vous reverrais ?
-Peut-être bien. Tout cela dépend de toi. Apprends à devenir un Shinigami et devient fort pour te protéger dans ta nouvelle vie. »
Je n'eus pas le temps de lui répondre, le pommeau toucha mon front et je disparus. Ma nouvelle vie allait pouvoir commencer. Mon prochain objectif était tout trouvé : je devais devenir Shinigami.