¤~ Soi Fong ~¤

Nom : Fong

Prénom :Shaolin qui donnera quelques années plus tard, Soi Fong.

Âge :Des milliers d'années

Sexe :Féminin


Décrivez votre perso physiquement et moralement :


Taille/Poids :1 mètre 50 pour 38 kilos

Groupe sanguin :inconnu

Couleur de cheveux :noirs

Couleur des yeux :noirs

Description Morale : Le capitaine de la deuxième division, possède évidemment un caractère bien trempé et montre envers les autres, une vraie dureté dans ses propos et une certaine distance avec ceux qui la côtoient. Impossible donc de faire connaissance dès les premières minutes, Soi Fong est une personne possèdent une grande fierté et un amour propre qui l’est tout autant, voire plus. Sa principale préoccupation au sein de la Soul Society est la réussite des missions qui lui ont été confiées, elle ne s’embarrasse d’aucun état d’âme, la prospérité de ses fonctions est donc primordiale. Elle ne s’occupe dans de choses qui lui semblent inutiles au contraire d’une bienveillance du respect de toutes les règles et lois faisant office au sein du Gotei 13. Le bute de son existence est donc l’accomplissement de son devoir en tant que Shinigami de la deuxième, en tant que Capitaine officiel de la Soul Society et pour cela, personne ne pourra l’en empêcher car il s’agit de l’essence même de sa vie.

Description Physique :Soi Fong a gardé, malgré des centaines d’années, une apparence assez jeune qui en n’aucun cas, ne montre le moindre fléchissement dû au poids implacable des années. La jeune femme possède donc une apparence physique à cent lieux de son véritable âge, en l’occurrence une bonne centaine d’années. Outre le fait de cette apparence pour la moins juvénile, le capitaine de la deuxième division est une femme que l’on pourrait classer dans les petites tailles. En effet, celle-ci affronte le monde depuis son mètre cinquante, ce qui n’est pas non plus en dessous de la moyenne mais ne vous attendez pas à rencontrer Soi Fong avec un mètre doublé. Ceci étant dit, sa petite taille et son poids tout aussi petit voire faible, lui permettent de développer une souplesse et une rapidité encore inégalée, sauf peut-être par son ancien maître, à savoir Yoruichi dont la renommée en terme de rapidité n’est évidemment plus à faire. Soi Fong ne révélera donc pas durant ses combats, une force pure impressionnante, mais essayera plutôt de se défaire de ses adversaires par des mouvements vifs et prompts. Pour résumer d’un point de vue globale, le physique de cette chère Soi Fong ne fait pas dans l’excès et ne vous plonge pas dans un désarroi le plus total en se rendant compte de la masse de muscles se cachant derrière ce petit bout de femme. Mais attention, n’allait pas croire que Soi Fong donne l’impression d’une femme faible et sans défense, l’expression de son visage en lui-même est une indication sur la personnalité du capitaine. A savoir une personne possédant un fort caractère et dégageant une autorité peu commune. Le corps de Soi Fong peu paraître assez banal tant il est normal, le visage de la belle capitaine est nettement plus réjouissant, car malgré le fardeau des siècles passés, ses traits n’ont pas l’air d’en avoir pâtis. Quand à ses yeux, ils ne montrent pas la moindre compassion ou autres sentiments semblables, de par ceux-ci, on peut facilement observer la détermination sans faille qui anime Soi Fong. Elle a le teint pâle, ce qui fait ressortir ses petits yeux bridés et fins.


Informations personnelles :


Date de naissance :11 février

Lieu de naissance :inconnu

Date du décès :inconnu

Biographie :Un passé inavoué, que même la capitaine de la seconde division voudrait oublier. Un passé remplit de tourments et de trahisons, changeant complètement la mentalité de Soi Fong, tant la blessure infligée semble encore présente malgré le poids des années. Une histoire fanée qu’elle n’oserait fredonner aux oreilles de personne, même pas à ses proches. Sa vie vola en éclat en une seule nuit, les bribes de son passé lui revirent inlassablement à l’esprit maint et mainte fois, interdisant son âme à la tranquillité. Une seule personne porte le fardeau de tant de peines et de désillusions, Shihouin Yoruichi, seule personne pouvait se vanter d’avoir noirci l’histoire de Soi Fong dont le destin, lui-même, aurait préféré une autre fin. Un début dans la souffrance. Désormais peu de personnes peuvent s’aiguillonner de cerner cette femme au regard criant affliction et désolation. Elle-même semble s’être perdue dans les méandres de sa haine et les quelques personnes hasardeuses, voulant percer le mystère de son être, se voient étouffer par la pudeur montrée par la capitaine. Le peu de choses que l’on sache sur cette personne est son origine, Soi Fong naquit donc dans la famille Fong, famille de provenance modeste qui s’exerça de génération en génération à immiscer sa descendance dans les rangs du Keigun. Véritable héritage d’une famille en déclin.

Soi Fong, d’un regard résolu, s’entraîna nuit et jour avec panage pour un jour faire la fierté de sa famille, le rang de Chef du Keigun serait donc une apothéose pour la jeune fille. Shaolin fut ensuite accepté, sans réels obstacles après avoir brillamment réussi les épreuves spécifiques. Elle pouvait à présent s’enorgueillir de se fondre dans l’élite du Keigun, et de ce fait être sous la tutelle de l’actuel chef de la Milice, en l’occurrence Shihouin Yoruichi. De là une relation sincère, loyale débordant sur le Candide parut, les deux femmes se respectait passablement, au-delà même de la barrière, disciple, précepteur. Au gré de cet attachement, la jeune fille rayonnait auprès de cette personne qu’elle vénérait, tant le respect que le vouait Soi était impénétrable. Ses aptitudes et son habilité allouèrent immédiatement l’attention et la prévoyance de son maître qui la considérait à son tour comme son héritière, à elle, la déesse de la prestesse. Soi Fong ne cessa de développer ces facultés en terme de combat, rapidité et maîtrise de son propre esprit, Shihoui était pour elle l’archéotype de la femme parfaite, pouvant sans la moindre difficulté s’imposer dans ce monde inflexible et intraitable envers les faibles. Les deux Donzelles coulèrent donc des jours heureux, la future capitaine buvait chaque paroles relatées par la belle Yoruichi, son charisme quant à lui paraissait s’intensifier inlassablement, tel un long fleuve tranquille. Cette perspective d’une grandeur absolue ravisait l’avidité et les desseins Soi Fong. Yoruichi comprenait son élève et réciproquement, elle embrasait les menottes de Soi Fong et les difficultés de celle-ci à se remettre du décès de ses nombreux frères, au nombre de cinq.

Des jours, des semaines passèrent et la déesse de la rapidité pouvait se prêcher de compter dans les rangs du Keigun un tel prodige, elle se tâta d’ailleurs à faire passer à sa petite protégée quelques examens afin de contempler la progression de Soi Fong. Celle-ci profitait d’ailleurs de chaque occasion pour déployer au grand jour son génie sous l’œil scrutateur de la délicieuse et gracieuse Shihouin. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, Shaolin ne trouvait sa place qu’auprès de son amie et maître, elle aspirait d'ailleurs à vivre pour l’éternité près de son fétiche de perfection. Malheureusement ce bonheur divin ne fut qu’éphémère, fugace, précaire et périssable. En effet, par une nuit d’apparence ordinaire, Soi Fong découvrit ébahie et avec effroi, la disparition de son maître, sans le moindre mot d’explication, sans pouvoir connaître les raisons de son exil. Le contrecoup dans le chef de la jeune Shinigami ne tarda pas à surgir, blessée par tant de secrets obscurs, elle décida de vouer une haine sans fin envers son ancienne amie et jura de lui faire payer l’affront de sa douleur. Elle ne connut jamais un tel affront, voulant paraître devant ses congénères, offusquée par un acte aussi peu réfléchi, mais la vérité qui anime la raison de Soi Fong est tout autre. En effet, son vrai déchirement naît de l’incompréhension du geste de Shihouin, pas une seule fois, l’ancien comandant de la Milice ne lui dit un mot à ce sujet. Elle préféra alors ne laisser transparaître aucune émotion face à cette fuite, voulant paraître forte et sans faiblesses, elle décida de mettre le masque de la haine et de se couper du monde qui l’entoure. Elle trancha son passé afin de ne plus éprouver la moindre compassion, son attitude changea, Soi Fong devint donc une femme autoritaire et impériale, se montrant forte en toute circonstance. Elle ne possède plus aucun rêve mais bien un objectif à atteindre. Protéger la Soul Society au péril de sa propre vie afin de respecter les vieilles traditions de la famille Fong et de retrouver son ancien maître. Yoruichi, pour pouvoir l’annihiler de ses propres mains.

Division souhaité : bah...je sais pas moi... la 2ème par exemple ^^

Description du Zanpakutoh : Le zanpakutô de soi Fong se nomme Suzumebara (la guêpe) et cause le décès instantané de l'adversaire lorsqu'il frappe deux fois au même endroit. Sous sa forme "normale", elle le porte en travers du dos et il a l'apparence d'un katana normal.
Shikai :Pour activer son Shikaï, elle prononce ceci : "Pique tes ennemis jusqu’à la mort, Suzumebara". Étant une experte dans l'assassinat son zanpakutô en prends bien sûr une forme adéquate. C'est une petite lame qu'elle porte du poignet jusqu'au majeur. Elle possède une technique nommée Nigeki Kessatsu qui lui permet de tuer quelqu'un en deux parties bien distincte : elle pique pour la première fois une victime et à cet instant même un papillon apparaît à l'endroit de la piqûre, le Houmonka (la crête du frelon) et ensuite, si elle attaque l'ennemi à l'endroit même où se trouve le papillon, l'ennemi meurt instantanément.
Bankai :inconnu pour le moment

Avez-vous lu les règles : Les Admins sont les patrons et des Dieux.

Test Rp:

Test Rp:C’était un jour comme les autres au sein de la Soul Society. Un soleil timide radiait les quelques zones d’ombres se trouvant dans les ruelles paisibles et tranquilles du Seireitei. La quiétude régnait dans ce monde, si loin des traverses habituelles présentes dans le monde réel, l’harmonie et la paix asservissaient l’atmosphère du Gotei 13.
Soi Fong faisait sa ronde dans le quartier Nord afin de veiller à ce qu’aucun intrus ne vienne perturber cette atmosphère de paix et de tranquillité. Mais, depuis quelques jours, l’esprit de la Capitaine de la seconde division était troublée et la jeune femme faisait d’horribles cauchemars à la tombée de la nuit. Des souvenirs de son passé, qui lui revenaient par morceau mais qui étaient portés sur un même être, à savoir Yoruichi Shihouin. Un brin de nostalgie, voire de mélancolie, s'interposa dans les pensées bien remplies de la capitaine, qui se rappela alors son douloureux passé, la mort de ses frères et la fuite d’une personne qu’elle considérait à l’époque comme une déesse. Mais, cette nostalgie s’effaça, rapidement remplacée par de la haine mélée à de la rage à l’état pur envers son ancien maitre. Yoruichi... Ce simple nom suffisait maintenant à la mettre dans un état d’énervement et d’iritation extrème.
Rassassant ainsi tous ses souvenirs, la commandante du Keigun ne se rendit pas compte que des nuages gris avaient obscurcient le ciel bleux. Des gouttes d’eau commençèrent à perler sur le visage impénétrable de le jeune femme, la pluie tombant de plus bel sur les pavés célestes de la Soul Society.

De petites raffales d’un vent frais accompagnant l’averce, vinrent secouer les cheveux de la Capitaine. Le temps s’était rafraichit et Soi Fong fut prise d’un frisson. Examinant constamment le ciel, elle en conclut rapidement que la pluie ne s’arréterait avant un bon moment. Elle partit donc se réfugier sous le toit le plus proche.
Regardant et écoutant la dance monitone de la pluie sur le sol et les tuiles des toits, la jeune femme replongea de nouveau dans les abimes de se concience. Fermant ainsi son visage, ne montrant aucunes émotions, il semblait qu’elle avait fixer un masque de porceline sur son visage.
Le soleil était maintenant presque totalement caché par les nuage noirs. Pour peux, on se serait crut en pleine nuit. Mais, même se changement de temps ne fit bouger la Capitaine. Fixant toujours la vide, on sentait bien que son esprit était ailleurs, même si son corps était toujours présent. De cette façon, elle se détachait un peu du monde réel, essayant d’oublier ses ennuits. Malheureusement, la shinigamie fut vite rattrapée par le cours des évènements.
Au loin, elle entendit les pas d’un groupe de personnes se rapprochant à toute allure de l’endroit où elle était. Elle tourna le regard vers le lieu d’où provenait le bruit, et attendit de voir à qui pouvait bien appartenir ces bruits de pas. Au bout de quelques instants, un groupe de deux shinigamis de sa division se présentèrent devant elle. D’un geste de la main, elle leur fit signe de parler, se que l’un des deux s’empressa de faire :

-Taïchô, j’ai quelque chose d’important à vous faire parvenir. Une escouade de nos meilleurs hommes est revenue, nombreux d’entre eux sont gravement blessés, on redoute une attaque à la Soul Society. Il faut agir au plus vite avant qu’un plus grand malheur nous guette …
-Où se touvent-ils ?
-Un peu au Nord d’ici, Taïchô... Mais...

L’homme ne finit jamais sa phrase. La Capitaine de la seconde division avait déjà disparu. Elle se dirigea d’un pas rapide et alert vers l’endroit que lui avait indiqué le shinigami. Fronçant légérement les sourcils, elle se demanda se que venait faire ses fouteurs de trouble ici... Elle ne trouva pas de réponse à sa question et, au fond, elle s’en fichait : tout se qui dérangeait l’équilibre de la Soul Society devait disparaitre. Fillant à une vitesse fulgurante, Soi Fong fut bientot sur les lieux du carnage. Il n’y avait aucun corps à terre, par contre, le sol était en partie coloré de pourpre. La femme fronça de nouveau les sourcils mais, cette fois-ci, avec une lueures de mécontentement dans les yeux. Elle déambula sur la scène de combat, sans dire un mot mais serrant les poings avec une force peu commune. Comment un seul homme avait-il pu s’y prendre pour anéantir toute une escouade ? A moins qu’il ne soit étonnement fort, elle ne voyait pas d’autres solutions... La capitaine ronchona dans sa barbe : elle allait encore devoir faire le sale boulot elle-même ! Ca en devenait presque pitoyable tous ces infirmes.... Quoi qu’il en soit, Soi Fong se tenait prête au combat. Elle tenait fermemant la garde de son Zanpakutô avec sa main droite en cas d’attaque d’un quelconque ennemis. Elle savait pertinemment que l’homme allait revenir ici pour apprécier le spectacle de l’horreur qu’il avait commis. L’intuition de la capitaine se révéla exacte car quelques secondes plus tard, son adversaire apparut sur un bâtiment de la Soul Society, léchant son sabre qui contenait encore un peu de sang de ses victimes.

-Mais que vois-je, serait-ce la capitaine de cette misérable division ? Tu ne dois pas valoir grand chose si se sont tes hommes, à peine un peu plus forte qu’eux, je me trompe ? De toute façon, j’ai laissé la vie sauve, momentanément bien sur, à tes hommes pour qu’ils puissent contempler la défaite de leur capitaine. Quel sentiment d’humiliation tu vas connaître, capitaine. Prépare-toi à la pire défaite de ta vie, car celle-ci sera la dernière pour toi !
-Fermes-la, tu parles trop...

La capitaine était furieuse. Elle ne pouvait pas laisser passer les insultes que cet ignorant venant de proférer. Elle était vraiment énervée et, d’un geste sec et rapide, elle dégaina son Zanpakutô et foncea rapidmeent sur son adversaire. Celui-ci ne semblait pas être très puissant, mais il fallait se méfier tout de même. Elle et lui allaient probablement jouer avec leurs vitesses, mais à ce jeu-là Fong avait l’avantage... Son adversaire ne montrait donc pas un charisme comme celui de Byakuya mais n’était quand même pas si mauvais que cela, durant les quelques coups échangés avec lui, Soi Fong put se faire une idée sur le potentiel de son adversaire.Petit à petit, la capitaine prit le dessus sur cet homme. Son escouade arriva finalement et se réjouit de la tournure que prenait les évènements et même si quelques-uns uns d’entres eux voulaient intervenir dans le combat, ils furent immédiatement arrêter par Soi Fong qui voulait combattre seul à seul. La tendance était donc bien prononcée, la capitaine allait mettre en terme au combat contre son opposant. Ce petit jeu commençait à la lasser. Le combat serait bientot régler, il lui suffit d’un frase.

-Pique tes ennemis jusqu’à la mort, Suzumebara

Son zanpakutô fut libérer à cette seule phrase. Il se changea en une sorte d’aiguille reliée à son majeur, parfait pour en finir avec son opposant du jour. En un instant, Soi Fong fut derrière son adversaire, l’aiguille sous sa gorge afin de mettre fin aux hostilités.
Elle le piqua une fois, sans se presser. Une figure semblable à celle d’un papillon apparu. Puis, d’une voix calme et froide, elle dit à l’inconscient :

- Voici ce qui arrive à ceux qui osent me prendre à la légére...

Finalement, la pointe de son aiguille s’enfoncea une seconde fois dans la gorge de l’homme, au centre même du papillon.
En quelques secondes, tout fut finit.
Soi Fong laissa tomber le corps sans vie de son adversaire par terre et son zanpakutô reprit sa forme originale. La femme ne s’attarda pas plus longtemps et, faisant signe à l’escoude qui était arrivée un peu plus tot, elle leur ordona de nettoyer les lieux et de procéder ensuite à une virification du Seireitei, pour s’assurer qu’il n’y avait pas d’autre fauteurs de trouble. L’escoude s’exécuta et la capitaine de la seconde division disparue rapidement dans les ruelles de la Soul Society alors que la pluie se faisait de plus en plus forte.