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 Ibizaru Kiosuké, capitaine de la 9ème division [Refonte]

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Ibizaru Kiosuké
Capitaine de la 9ème Division ~ Admin
Ibizaru Kiosuké


Masculin
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Fan de : : Bleach,Naruto et blue dragon
Fonction : Administrateur
Date d'inscription : 16/12/2007

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Ibizaru Kiosuké, capitaine de la 9ème division [Refonte] Empty
MessageSujet: Ibizaru Kiosuké, capitaine de la 9ème division [Refonte]   Ibizaru Kiosuké, capitaine de la 9ème division [Refonte] Icon_minitimeLun 20 Oct - 18:59

Nom : Ibizaru
Prénom : Kiosuké
Âge : 25ans
Sexe : Homme

Décrivez votre perso physiquement et moralement :

Taille/Poids : 1m85, 65kg
Groupe sanguin : AB-
Couleur de cheveux : Noire
Couleur des yeux : Rouge
Description Morale : Malgré sa vie de voleur avant sa mort, Kiosuké n'est pas quelqu'un d'intéressé. En fait, la seule chose qui pourrait vraiment l’intéresser c'est la gloire et la reconnaissance de ses pairs. En effet, la vie en solitaire (ou plutôt en comité réduit) a amené un besoin de reconnaissance. Passer sa vie à voler pour vivre forge un homme à la discrétion afin d'éviter qu'on le repère. Mais le soucis, c'est que personne ne sait qui vous êtes. Les gens vous évite comme la peste, on vous traque ; si vous êtes attrapé, adieu la liberté.
Bref, Kiosuké est quelqu'un qui peut paraître dur et cynique, mais au fond de lui c'est d'affection dont il a le plus besoin.
Le jeune homme possède tout de même son caractère, et même si il ne parait pas très ouvert à la discussion, c'est simplement qu'il vous juge. Savoir si il peut vous faire confiance, si vous méritez un quelconque intérêt ou si vous n'êtes qu'une personne superflue qui ne servirait qu'a gaspiller la salive de la personne qui lui parle.
Parfois, on dit de Kiosuké qu'il est arrogant, et ce n'est pas totalement faux. Il est vrai qu'il à tendance à souvent sur-estimer ses capacités ce qui l'amène parfois dans des situations plutôt complexes.
Mais si vous ne vous arrêtez pas sur les apparences et que vous êtes une personne de confiance, vous n'avez pas de soucis à vous faire, Kiosuké vous adoptera dans sa « famille ». C'est à dire dans un cercle de personnes qui l'entoure et en qui il a toute confiance. Toutefois, ne vous méprenez pas ; Kiosuké est tout sauf dupe, si vous tentez de le trahir, il le saura. Il pardonne à ceux qui le mérite, aux autres, il punit les crimes.
Peut être a-t-il trop tendance à vouloir régler tout par lui-même et à rendre sa propre justice, parfois impulsive et sans autre forme de procès que son propre jugement. Mais cela est sûrement du à son arrogance innée.
Le jeune homme est toutefois un homme réfléchi et prévoyant, bien que parfois impulsif. Il déteste foncer tête baissé sans connaître le fond des choses. Il ne juge rien sur les apparences et préfère être bien renseigné et agir avec beaucoup de réflexion plutôt que de voir sur le tas si c'était bien comme on l'avait imaginé, ou pas.
Malgré son côté très réfléchi, il arrive que la rage prenne plus de place dans son cœur à cause d'un événement particuliers ce qui peut le rendre... comment dire ? Monstrueux ? Hum... disons très dangereux.
Kiosuké est quelqu'un de très gentil avec les personnes qui peuvent voler pour survivre, mais aussi pour les orphelins et les enfants. Cela est due à son passé.
Description Physique : Plutôt grand et tout en finesse, Kiosuké n'est pas le genre d'homme à faire de la musculature pour ressembler à monsieur monde. Seul l'utilité d'une musculature fine l’intéresse.
En effet le 'trop' nuit souvent, ralentissant les mouvements, ralentissant les esquives. A l'inverse, le 'pas assez' rend l'endurance faible, la non-capacité de porter des objets lourds.
Le jeune est donc un entre deux. A la fois rapide et endurant, Kiosuké est la fusion entre les avantages des différents type de musculature, bien qu'il ne soit pas aussi fort que si il avait l'un ou l'autre.
Le jeune homme possède une longue chevelure noire lui ayant valu moqueries de la part de ses camarades d'orphelinat autrefois. Mais il en ai aujourd'hui très fier,  car ils sont un symbole, celui d'un animal sauvage à la longue crinière tel un lion.
Il possède des yeux bleus océan très profond dans lesquels on peut avoir tendance à sombrer facilement, emporté par la soif de liberté de son regard. Pourtant il ne vaut mieux pas s'y perdre, car au fond de son regard se trouve un imbroglio de pensées incompréhensibles pour autre que lui-même.
D'un naturel calme et discret, Kiosuké marche souvent d'une démarche un peu nonchalante mais pas 'trop', afin de ne pas passer pour quelqu'un de très sur de soi.
Sa tenue de shinigami lui va à merveille, le noir étant sa couleur préféré, le rendant furtif dans la nuit et permettant de se cacher dans l'ombre. Pourtant, son grade de capitaine l'oblige à porter un habit supplémentaire blanc, ce qui l'amène souvent à râler contre le choix des couleurs, malgré sa fierté de capitaine.
Son visage fin lui amène souvent beaucoup de succès auprès des filles -ce qui n'est pas pour lui déplaire-, ce qui à tendance à rendre jaloux d'autres shinigamis. Toutefois, Kiosuké n'étant pas dragueur né, il répond peu souvent à des avances et souvent de façon directe.

Informations personnelles :

Date de naissance : année 1940, date précise inconnue.
Lieu de naissance : Rochefourchat, France
Date du décès : année 1965, date précise inconnue

Biographie :
Chapitre 1 : Parents et Naissance
Nous sommes en 1940. L'Allemagne a envahi la Pologne. A cause du pacte les liants à ce pays, la France ainsi que le Royaume-Uni déclare la guerre à l'Allemagne nazi sous le joug de Hitler. L'armée française vient de débuter les combats contre les Allemands qui les ont pris à revers sans passer au niveau de la ligne Maginot.

Nous sommes en France, dans une petite ville du sud -plutôt un petit village- du nom de Rochefourchat.
C'est dans ce petit hameau que commence l'histoire d'Ibizaru.
Ses deux parents de religion juive habitaient tranquillement dans ce petit village. Fermier, et possédant quelques champs et animaux, la famille Baïk vivait tranquillement depuis quelques années. Peu au courant de la guerre qui venait à eux, nul ne se souciait du massacre futur, persuadé que les Français pouvaient vaincre à nouveau l'Allemagne, comme ce fut le cas durant la guerre précédente.

Habitant une jolie petite maison, les Baïk se composaient de quatre personnes : Alfonse, le père, Adeline, la mère, Sammuel, le frère aîné -15ans- et Marine, la plus jeune -10ans-.
Toutefois, à ce compte-ci manquait un dernier luron, qui faisait doucement grossir le ventre de sa maman. C'était un garçon, d'après le docteur qu'ils étaient allés voir quelques mois auparavant afin de s'assurer de la santé d'Adeline.

Pas encore décidé sur le nom, le sujet finissait souvent en débat interminable à table, entre le père qui souhaitait donner un nom en rapport avec la religion, la mère qui préférait un nom plus d'actualité et les enfants qui proposaient des noms pour le moins farfelus.
Pourtant, a ce quotidien joyeux allait succéder un enfer terrible.

En quelques mois, la France tomba sous domination Allemande. Ce sont des français désorganisés et mal préparé qui se sont fait battre par les Allemands grâce à leur technique d'offensive éclair basé sur les blindé et véhicule : la Blietzkrieg.
Loin de penser à ce désastre, c'est un tribut bien pire que leur pays qu'allait devoir payé les Baïk. L’Allemagne nazi était en marche sur la France.

L'année suivante allait naître le dernier de la famille. Mais le problème était là. Les juifs souffraient déjà de famine et discrimination.
Alfonse décida alors de placer le nouveau né dans un orphelinat sans lui donner de nom et sans que personne ne sache d'où il provenait. Son but était simplement de cacher l'enfant aux yeux des nazis le temps de l'occupation, pour le récupérer plus tard.
Sa femme accoucha dans des conditions terribles et éprouvantes. Elle ne put le tenir que quelques secondes dans ses bras avant que son mari ne le prenne pour l'amener devant la porte de l'orphelinat.

Pleurant à chaud de larme devant l'abandon de son enfant, Alfonse n'avait guère d'autres choix.
Il ne voulait pas faire vivre son nouveau-né sous un régime le haïssant et le persécutant dès la naissance. Il tenait trop à son fils pour accepter qu'on le fasse souffrir dès la naissance...
Grand bien lui en fasse, car la famille Baïk fut déportée peu après dans un camps de concentration Allemand.

En effet, un matin, un bataillon SS arriva dans le village, se dirigeant vers la maison Baïk.
Voyant les SS arriver, Alfonse sortit de la maison, sa famille derrière lui.
L'officier, un homme grand et sec hurla en Allemand :


« ALLE IN DER LKW SOFORT »

Mais aucun membre de la famille ne bougea, car personne ne comprenait un traître mot d'Allemand.  Le visage de l'officier vira au cramoisi en voyant la famille rester immobile et cria:

« KLETTERN SOFORT ODER ICH WERDE DEINE TOCHTER ZU TÖTEN ! »

Les soldats firent un signe de monter dans le camion, mais le père intercéda :

« Nous n'avons rien fait, pourquoi devons-nous partir ? »

L'officier sorti d'un seul geste un pistolet et une détonation retentie suivi d'un cri aiguë. Marine s'écroula, un trou rouge entre les deux yeux, le sang ruisselant sur son visage mort.
Alfonse se jeta sur le corps de sa fille en pleurant à chaud de larme. Toute la famille fit de même, mais furent interrompus par les soldats qui le prirent de force pour les mettre dans le camion. Ils ne tentèrent pas de se débattre. La famille ne voulait pas alourdir son deuil déjà trop lourd à porter.
Les Baïk furent déporter dans un camps de concentration Allemand où mouru Sammuel, à cause de la famine et des mauvaises conditions.
Peu après cela, les deux parents tentèrent de fuir pour rentrer en France, mais furent abattu par les officier de garde.
On les décapita après leur mort afin de planter leur tête sur des piques pour dissuader les autres prisonniers d'essayer de s'échapper.


Chapitre 2 : Enfance
Le jeune garçon abandonné fut trouvé quelques heures après son abandon. Il était chose commune -d'autant plus depuis le début de la guerre- que des enfants soient envoyé dans un orphelinat dans le but de les faire échapper le plus possible au massacre atroce des nazis.
Ce petit bambin qui venait presque de naître fut soigné du mieux qu'ils purent ; c'est-à-dire pas très bien. En effet, au vu des rationnements et de tous les soucis que posaient la guerre, nourrir et soigner correctement était un luxe.
Le plus gros soucis fut de lui trouver un nom. En effet, personne n'avait vraiment d'inspiration pour trouver quelque chose de correct.
Toutefois, c'est dans un héros de littérature connu par une des femmes travaillant à l'orphelinat que l'on trouva son nom : Ibizaru.
D'après la légende, Ibizaru était un puissant et sage Phoenix qui trônait en haut de sa montagne. Toutes personnes étant capable de gravir ce fameux mont se trouvait récompensé par un souhait de son choix.
Gravir la montagne était presque impossible, personne n'y arriva. Mais un beau jour, un jeune garçon du nom de Kiosuké décida de gravir la montagne pour poser sa question. Personne ne savait ce qu'il voulait demander au roi de cette falaise.
Il réussit tant bien que mal son ascension et une fois arrivé devant le phoénix. Celui-ci le salua et lui demanda :


« -Quel est ton souhait ?
-Avant de l'énoncer, j'aimerais vous poser une question, puis-je ?
-Je t'écoute.
-Pourquoi restez-vous ici sans jamais voler, voyager ?
-Je suis bloqué ici pour l'éternité, car un dieu jaloux de mes pouvoirs m'a attaché ici et je ne puis descendre.
-Je souhaites que tu sois libre et que tu puisses voler à nouveau de tes propres ailes.
-Pardon ? Tu ne souhaites pas richesse et bonheur ?
-Tu sais, la richesse n'apporte que le malheur et le bonheur, j'ai déjà une famille et une maison ; je suis déjà heureux. J'aimerais simplement te voir voler, car je suis sûr que tu es le plus majestueux de tous les oiseaux.
-Monte sur mon dos petit homme, je vais t'offrir une place de choix pour mon premier vol depuis des siècles. Merci petit homme, merci, je n'oublierais jamais ce que tu as fait. »


Son prénom fut Kiosuké et ce pour parfaire la référence à ce joli conte pour enfant.
En grandissant, le petit garçon montra une affection particulière pour ses cheveux très noirs, long et fin. Mais son visage enfantin le rendait quelque peu androgyne.
D'un naturel fin, le petit garçon était un peu famélique, à cause de la guerre.
Quatre années passèrent et les pensionnaires durent affronter la difficulté de l'occupation Allemande. Peu de nourriture, des conditions de vie difficile, notamment à cause des réquisitions de nourriture des Allemands qui arrivaient de façon aléatoire.
Personne ne voulait s'interposer, de façon à éviter toutes exécutions sommaires.
Le 7mai 1945, la guerre cessa. Les alliés avaient gagné, la vie allait enfin pouvoir reprendre son cours normal. Kiosuké avait 5ans à ce moment-là.

Il grandit isolé des gens, dans son coin. On l'entendait parler dans le vide. Il paraissait que le garçon voyait des fantômes et leur parlaient. Mais peu de gens croyait cela, préférant dire qu'il s'imaginait des amis pour pallier au fait qu'il n'arrivait pas à s'intégrer parmi les autres pensionnaires qui prenaient un malin plaisir à le torturer.
En effet, ses cheveux longs menaient souvent à des moqueries, des croches-pieds et autre farce en tout genre qui vous pourrissent la vie.
Plus il était en contact avec les autres, plus Ibizaru se sentait seul. Heureusement, il parlait à des amis fantômes qui lui répondaient ; ainsi il avait quand même des amis.


Chapitre 3 : Le massacre
Son enfance passa, chaque jour se succédant dans une routine insupportable qui dérangeait atrocement Kiosuké.
Une journée se passait de la manière suivante : levé 8h00, petit déjeuner, bousculade de ses camarades, leçon avec un instituteur, bousculade, pause déjeuner, moqueries, sport et activités de l'après-midi, moqueries, puis au lit. Bref, une routine parfaite.Cependant, un jour, tout bascula.

C'était un mardi matin, environ une heure avant l'heure de levé, que Kiosuké entendit un bruit. Plutôt un cri, en fait. Comme un rugissement d'une bestiole affamée. Il se redressa sur son lit, effrayé et se tourna vers l'endroit où se trouvait d'habitude ses amis fantômes.
Seul un des fantômes était ici, recroquevillé, ses bras entourant ses jambes.
Le jeune garçon descendit de son lit et lui demande :


« -Qu'est-ce qui ne va pas ?
-Il est là... il arrive
-Mais de qui tu parles ?
-Lui... il est là...
-Mais... »



Il ne put finir sa phrase, un second cri retenti dans le bâtiment. Cette fois, c'était un cri humain. Un bruit de mur éclaté s'en suivi suivi de plusieurs autres cris se succédant dans des intervalles court, trop court.
Kiosuké, terrorisé, jette un simple coup d'oeil par la fenêtre. En face, le bâtiment où logeait les filles étaient totalement en ruine et des cadavres de ses camarades étaient visibles.

Mais le pire, c'était au milieu de tout ça. Un monstre d'environ 4 mètres de haut se trouvait là, rugissant de toute sa haine. Il avait à la place du visage un masque blanc qui semblait fait d'os et son corps était percé d'un trou au milieu. Son dos était composé de piques et ses pattes ressemblaient à celles des sauterelles.

Le monstre, immobile, semblait chercher quelque chose. Ou peut être quelqu'un...
Le personnel commençait à accourir vers la scène de massacre pour comprendre ce qui se passait. Kiosuké fut tenté d'ouvrir la fenêtre pour les avertir, mais il n'en eut pas le courage ; il était mort de peur. Des larmes de terreurs ruisselant sur les joues, il ne pouvait esquisser aucun mouvement.

Les gens qui commençaient à se rassembler autours de l'endroit détruit ne semblait pas voir l'énorme monstre au milieu de la scène. Kiosuké cria intérieurement et tomba à genoux sur le sol. Le cri retenti à nouveau. Le massacre continua. Les bras entourant de ses jambes, le jeune garçon sanglotait, terrifié par ce qui se passait autour de lui.
Au bout d'un certain moment, les cris se turent.
* C'est finis ? *, se demanda le jeune homme.
Un craquement sinistre de fit entendre. La porta explosa et le monstre entra dans la chambre. Kiosuké cria de terreur à la vue du monstre.
Celui-ci se tourna vers lui et s'étonna :


« -Ho ! Tu peux me voir petit être ? »

Le jeune garçon lui jeta un regard étonné et empli de terreur. Il l'entendait, oui. Il répondit tant bien que mal :

« -P...pour..quoi... pour...quoi tant de... de... massacre..
-Mais pour toi, bien entendu ! C'est toi que je cherchais. Les autres n'avait que peu d’intérêt. Ton âme à l'air si bonne ! Je vais me régaler !
-NOOOOOON »


Le terrible monstre se jeta sur le garçon et celui-ci ferma les yeux, comme pour éviter de voir le monstre le tuer. Mais aucune douleur ne vint. Comme si rien ne se passait. Il ouvrit un œil et vit en face de lui une personne, toute de noir vêtue qui avait paré l'attaque du monstre à l'aide d'un sabre.
Il projeta le monstre contre un mur, et d'un coup de sabre, il découpa son masque.
Le monstre poussa un cri d'agonie avant de disparaître dans le néant. L'homme en noir parlant pour lui-même :


« -Foutu Denreishinki, si seulement il n'était pas tombé à plat je serais arrivé à temps... »

Puis l'homme sortit par là où il était entré, jurant contre le monstre qu'il venait d'abattre.
Plus tard dans la journée, Kiosuké fut trouvé par le facteur qui amenait le courrier et qui courra vers la scène de désolation qu'était devenu l'orphelinat.
On ne trouva pas de responsable et les témoignages de Kiosuké n'amena la police qu'à la conclusion qu'il était sous état de choc et qu'il avait inventé l'histoire.

L'affaire finit classé et Kiosuké se retrouva livré à lui-même, car une fois remis en liberté par la police, personne ne se soucia d'où il pouvait bien aller.
Kiosuké grandit en voleur dans la ville où il était. Jeune et rapide, il trouvait des combines pour voler quelques aliments pour ne pas mourir de faim.
Il grandit dans ces conditions jusqu'à ses 15ans.


Chapitre 4 : L'adolescence
Quelque peu connu pour être un voleur insaisissable dans la ville, Kiosuké continuait ses chapardages, son seul but étant de survivre. Il ne volait pas par plaisir, mais par nécessité.
Un beau jour, il rencontra deux autres enfants qui semblaient eux aussi voler pour se nourrir ; mais leur technique était prévisible, simpliste et ils étaient trop lent.
Quelque peu habitué par les vols qu'il commettait depuis des années, le jeune garçon n'avait aucune compagnie, et la solitude le rongeait complètement. Malgré les fantômes qu'il pouvait croiser et avec qui il ne manquait pas de parler, il n'avait personne de chair et d'os sur qui compter.
Il décida alors d'aller voir les deux personnes qu'il avait remarqué. Il attendit le soir en les filant discrètement.
Lorsque la nuit tomba sur la ville, le jeune Kiosuké trouva l'endroit où se terrait le duo qu'il avait filé pendant la journée. C'était une vieille maison abandonnée dont on avait l'impression qu'elle allait s'écrouler. Son état étant sûrement du à la guerre.
Le jeune homme entra habilement et de la façon la plus discrète possible afin de ne pas éveiller les soupçons des deux enfants qui se trouvaient là. Marchant doucement, il passa derrière eux et s'assit.
Il commença avec un sourire narquois :


« -Vous devriez être un peu plus attentif, j'aurais pu être un policier venu vous attraper. »

Les deux jeunes garçons sursautèrent d'un seul bloc en se tournant dans le coin sombre de la pièce d'où émanait la voix. Kiosuké continua :

« -N'ayez pas peur, je ne suis pas là pour vous faire de mal ou pour vous arrêter. Je serais bien mal placé pour cela, vu que cela fait des années que je vole pour vivre.
-Pourquoi être venu ici ? Que nous veux-tu ?
-Trois fois rien. En fait je venais vous proposer mes services. Pour être plus exact, vous former. J'ai vu la façon dont vous agissez. Vous êtes trop lent, trop prévisible, je ne vous donne pas une semaine pour vous faire attraper. Mais si vous acceptez de coopérer avec moi, je vous formerais à devenir silencieux et à bien réfléchir vos actes. Tenté ?
-Non mais ça va pas ! Comme si on allait te servir ! Dégage d'ici on est assez grand pour se débrouiller seul ! »


Kiosuké émit un petit ricanement. Sans répondre, il se leva et sorti de la cachette des deux garçons. Il allait simplement les surveiller. Et le jour où ils seraient sur le point d'être attrapé, il les aideraient à s'enfuir et gagnerait leur respect.

Quelques jours plus tard, la police était à la poursuite des deux jeunes garçon qui s'était fait prendre par un marchand et s'étaient enfuis en courant.
Kiosuké devança les jeunes garçons et se mit au bout d'une rue. Lorsqu'ils arrivèrent en courant, il leur fit signe se le suivre. Le reconnaissant, ils accoururent dans sa direction.
Le jeune homme les amena dans diverses petites rues qu'il connaissait par coeur jusqu'à un endroit qui semblait être un cul de sac. Mais Kiosuké créa un passage grâce à des pierres déjà décelées. Ils entrèrent dans la pièce, remirent les pierres en place et attendirent que les bruits de poursuites se soient estompés pour souffler un peu.


« -Je pense que vous avez compris de vous-même ce que je voulais vous expliquer la dernière fois, n'est-ce pas ?
-Je crois bien, oui...
-Si je vous ai amené là aujourd'hui, ce n'est pas pour rien. Ici c'était un ancien abri de guerre, mais l'entrée a été ensevelie et personne n'à vraiment chercher à y avoir de nouveau accès. J'ai découvert des pierres mal scellées et j'en ai fait ma « maison ». Ho, oui, au fait, je m'appelle Ibizaru Kiosuké. On me surnomme Phoenix, car mon nom et prénom viens d'un vieux conte. Et vous, qui êtes-vous ?
-Je suis Edrick et voici mon frère, Aldrick.
-Enchanté, Ed et Al. Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Alliez-vous à moi et nous deviendrons un trio. Nous aurons assez pour manger si nous nous répartissons les tâches. Mais dans un premier temps, je dois vous former ! Partant ?
-Partant !, s'exprimèrent les deux jeunes garçons »


C'est ainsi que naquit celui qui plus tard sera nommé « le gang du Phoenix ».
Kiosuké leur enseigna ce qu'il avait appris par le passé. Ils devinrent de plus en plus connu dans la ville, car personne n'arrivait à les attraper. Pourtant, ce ne fut pas la police qui leur attira des soucis, mais plutôt un autre 'gang' composé, lui, de malfrat adulte. Et le fait de leur faire de l'ombre ne leur plaisait pas du tout.

Divers affrontement eurent lieu, mais jamais d'affrontement direct, Kiosuké savait parfaitement qu'en combat loyal, ils n'avaient aucune chance. Pourtant, un jour, le gang ennemi trouva Al et ils le tabassèrent en le laissant pour mort au bord d'un caniveau.
Quand Kiosuké et Edrick le trouvèrent, il était mort de ses blessures. Fou de rage et de tristesse, ils ne savaient pas vraiment qui avait fait ça. Mais Kiosuké, en parlant avec l'âme de Aldrick comprit alors que c'était l'autre gang qui était impliqué dans ce meurtre.




Chapitre 5 : L'âge adulte
« L'honnêteté ne consiste pas à ne jamais voler, mais à savoir jusqu'à quel point on peut voler, et comment faire bon usage de ce qu'on vole. »
Cette phrase faisait avant office de credo pour le duo que formait Kiosuké et Edrick. Mais parfois, le vol combiné à la rage et au meurtre font parvenir de nouvelles sensations que l'on pensait enfuies au plus profond de soi.

Les deux jeunes étaient désormais majeurs et le vol était devenu leur raison de vivre. Ils ne volaient plus pour vivre, ils vivaient pour voler.
C'était désormais un passe-temps comme un autre. Mais voler et revendre leur faisait gagner assez d'argent pour ne plus vivre dans la rue, mais dans un tout petit appartement au loyer faible, tout comme l'espace qu'il leur était alloué.

Visant chaque fois de plus en plus gros, les deux jeunes hommes étaient toujours connus sous le nom « gang du Phoenix », référence à leur jeunesse et en mémoire de Aldrick.
Un beau jour, ils décidèrent de passer au niveau au-dessus en cambriolant une banque. Bien sûr, c'était une petite banque de quartier, moins sécurisé que les autres et assez vieille.

Ils passèrent de longs mois à étudier la structure du bâtiment, les emplacements des caméras, le va et vient du vigile et bien d'autres éléments déterminant pour la réussite de la mission.
Et le jour de l'action vint. La tension étant à son comble, les deux jeunes arrivèrent à entrer dans le bâtiment sans déclencher d'alarmes. Ils volèrent le plus d'argents qu'ils purent et disparurent, laissant sur place un petit papier avec un Phoenix. C'était le début d'une série de cambriolage de magasins, de petites banques dans différentes villes aux alentours de leur camps de base.


Passant aux informations, poursuivis par la police de plusieurs villes, personne n'arrivait à leur mettre la main dessus. Et plus leur renommée était grandissante, plus leur envie de faire plus grand, plus gros pour marquer à jamais la mémoire collective était grandissante.

Leur soif de gloire était à son comble, pour le meilleur, mais surtout pour le pire.



Chapitre 6 : Fin d'une carrière
Un jour, ils visèrent plus grand. Trop grand, peut-être. Une grande banque, dont ils étudiaient depuis un certain moment le trajet des voitures transportant les fonds, fut choisie afin d'être leur prochaine cible.
C'était plus qu'un gros morceau, c'était une banque internationale. Leur plan s'échafauda lentement, mais sûrement. Mais le soucis était qu'il leur manquait une personne de plus. A deux c'était un peu trop juste pour réussir ce genre de casse d'envergure. Pourtant ils ne voulaient personne d'autre.
Ce fut peut-être un mauvais choix.

La majeure partie de leur plan fonctionna. Ils réussirent à s'introduire dans la banque, à entrer dans le coffre et ce sans trop de difficultés, au vu du plan complexe qu'ils avaient mis en place.
Pourtant, sans une troisième personne, personne ne vit arriver une patrouille de police qui remarqua quelque chose d'anormale dans la banque de nuit.
Le temps d'appeler les renforts, ils auraient pu fuir. Mais pour ça, il aurait fallu qu'il sache que la police appelait des renforts.

Un peu trop occupé par la récupération, aucun des deux n'entendirent pas la sirène de police.
Ce fut au moment de repartir qu'ils virent des voitures de polices autour de la banque. Une voix dans un mégaphone leur annonça :


« -Police, vous êtes cerné. Rendez-vous, et tout se passera comme il faut. »

Mais les deux jeunes hommes n'étaient pas du genre à se rendre comme ça. Ils préféraient mourir plutôt de finir en prison. Voler étant la seule chose qu'ils savaient faire.
Ils montèrent sur le toit pour essayer de trouver une issue et tenter de fuir. Mais un sniper de la police en décida autrement.
Edrick prit une balle directement dans l'épaule et s'effondra dans un cri de douleur. Kiosuké courut à son secours et le tira à couvert :


« -Edrick non ! Ne meurt pas !
-Argh... t'en fait pas vieux, c'est rien... Fuis mon vieux. Fuis, laisse pas ces enfoirés t'attraper. Fait-le pour moi et pour feu mon frère.
-Non je t'abandonnerai pas...
-Allez, part mon frère ! »


Edrick s'évanouit sous la douleur de sa blessure et Kiosuké se mit à courir. Mais c'était déjà trop tard. Le groupe d'intervention était déjà sur le toit et le jeune homme ne pouvait plus fuir nulle part.
Il se rapprocha du bord de l'immeuble et cria d'un seul trait :


« - Le gang du Phoenix ne mourra pas, car nous vivrons à travers chaque histoire racontée à notre sujet. Nous serons tel le Phoenix ; après notre mort, nous renaîtrons de nos cendre dans l'histoire de votre ville »

Suite à ces mots, Kiosuké se jeta du haut de la banque, la mort étant préférable à ses yeux que la vie emprisonné dans leur centre de détention.
Le gang entra en effet dans l'histoire de la ville, mais fut rapidement oublié, du fait de sa disparition.
Edrick fut soigné et incarcéré dans une prison, mais se suicida peu après, la vie n'ayant plus aucun sens à ses yeux.


Chapitre 7 : Début d'une nouvelle vie
Kiosuké ouvra les yeux. La dernière chose dont il se souvenait était une grande douleur, puis plus rien. Autour de lui se trouvait des personnes qu'il ne connaissait pas.
Voyant le nouveau venu se réveiller, elles se tournèrent vers lui :


« -Bienvenue au Rukongai nouvelle âme.
-Pardon mais vous êtes ? Et je suis où ?
-En fait, tu es mort et tu es dans ce que l'on pourrait appeler le Paradis. Je dis 'pourrait' parce que tu te trouves dans un des quartiers les plus pauvres du Rukongai. C'est pas un endroit très fréquentable !
-Je suis... mort ? Cela explique bien des choses, en somme ! »


Kiosuké se leva et regarda autour de lui. Alors c'était ça, le fameux paradis, pensa-t-il. Ce que tout bon croyant souhaitait atteindre lors de la mort. Ça ne l’impressionnait guère. C'était presque  comme dans la vie normale, apparemment.
Les différentes âmes qui étaient avec lui expliquèrent les règles à suivre, le fonctionnement des choses, les différents districts de la Soul Society. Bref, tout concept nécessaire à la vie dans ce nouveau monde !

Un point attira tout particulièrement l'attention du jeune homme : les shinigamis.
C'était donc ça qu'il avait vu quand il était encore jeune, tuant les monstres sur terre avec leur sabre !
Il avait toujours voulu connaître l'identité de ce fameux être l'ayant sauvé. Pourtant il semblait à ce moment-là que cette personne n'avait que bien peu d’intérêt pour les humains.

Kiosuké commença alors sa nouvelle vie dans un endroit très différent où il apprit à se battre pour survivre. Comme quoi, le paradis que chérissait les hommes n'était pas grand-chose de plus qu'un nouveau monde régis par de nouvelles règles, avec des âmes pauvres et rejetés à l'extrémité, des nobles au centre et tout au milieu des shinigamis.
Pourtant, le jeune homme n'avait plus vraiment d'objectif dans sa vie. Il l'avait passer à voler, au début pour se nourrir, ensuite pour sa soif de gloire.
Mais maintenant, ce nouveau monde lui donnait une chance de toute recommencer, de ne plus vivre comme avant dans une société le rejetant complètement.

Pourtant, il commençait à entendre des voix dans sa tête. Ou plutôt, une voix. Lointaine pendant longtemps, elle devenait plus précise de jour en jour.
Dès qu'il se battait pour se défendre avec son bâton de fortune, Kiosuké sentait une voix lui parler, un peu comme les légendes des sirènes qui appelaient les marins pour les envoûter et les dévorer.
A la différence qu'ici, il était le seul à l'entendre.
A chaque combat il sentait sa température corporelle montée plus qu'à l'accoutumée et ses sens plus en éveil. Comme si une entité l'habitait.

Au bout d'un certain temps, il commença à discerner les paroles, puis compris qu'on lui parlait. C'est en répondant à ces appels qu'une entité lui apparu. C'était une panthère de feu qui lui adressa la parole :


« -Bonjour, Kiosuké. Je suis enchanté de faire ta connaissance.
-Que... quoi ? Mais qui es-tu ? D'où viens-tu ?
-Je suis une partie de ton âme, je me prénomme Ibimaru. Je serai ton arme.
-Mon arme ? Mais de quoi parles-tu ?
-Tu comprendras bien assez tôt. »


La panthère disparue, laissant place à un Nodachi, un sabre japonais très long (environ 1m50) fixé dans le dos de Kiosuké. Ce fut en interrogeant les âmes avec qui il habitait que Kiosuké comprit qu'il devait alors devenir un shinigami.

Il alla alors dans l'école formant les shinigamis. Sortant premier de sa promotion, il arrivant en tant que 3ème lieutenant de la 9ème division.
Il gravit les échelons en devenant 1er lieutenant de sa division. Ce fut après le départ du capitaine et de la découverte de son bankai que Kiosuké devint capitaine de la 9ème division.
Division souhaité : Capitaine de la 9ème
Description du Zanpakutoh : Niji est un Nodanchi, un sabre japonais très long dans sa forme de base. Assez difficile à manier, il possède une grande puissance spéciale.
Shikai : C'est en criant « Décolore Niji ! » que son zanpakuto aspire les couleurs présente dans une large zone rendant tout noir et blanc. Chaque couleur possède une caractéristique propre à celle-ci et peut être utilisée à des fin particulière. La couleur ne peut être utilisé qu'avec une quantité égale à sa présence. L'utilisateur est immunisé contre les effets des couleurs.
Voici le pouvoir de chaque couleur:
-Blanc Glissant: rend la zone sur laquelle est appliqué la couleur extrêmement glissante
-Noir accélérateur: marcher sur la zone noir permet à l'utilisateur du zanpakuto de se propulser en avant rapidement
-Jaune aveuglant: aveugle l'ennemi grâce à la zone sur laquelle est appliquée la couleur
-Gris aimanté: attire vers cette zone tout objets métallique
-Bleu protection: atténue la pression spirituelle sur les coups porté sur cette couleur
-Rose soignant: appliquer cette couleur sur une blessure permet de faire les premier soin sur celle-ci sans être pour autant extrêmement efficace
-Vert poison: lorsque le sang entre en contact avec cette couleur, un poison s'y insinue ayant pour effet de raidir les muscles et de rendre la cible plus lente
-Rouge ardent: brûle au contact de la couleur
-Orange collant: entrer en contact avec cette couleur colle ce qui est entré en contact sur sa surface
-Violet attirant: attire vers cette couleur tout objet/personnes à proximité
-Cyan trou d'eau: marcher sur cette couleur vous fait tomber dans un trou d'eau de 1m50 de profondeur
Les couleurs se dissipent au bout d'un laps de temps de quelques minutes. Les couleurs offrant un bonus ne peuvent être utilisée que par le détenteur du sabre. Il n'a aucun effet sur une autre personne. Les couleurs ont un nombre de ré-utilisation qui dépend de la puissance de celle-ci : le noir accélérateur est puissant, il se dissipera après la première utilisation; le jaune aveuglant étant moins puissant, il peut être utilisé 3 fois avant de se dissiper.
Bankai : Aspire aussi le noir et blanc dans la zone rendant celle-ci totalement sombre comme si l'on était aveugle. L'utilisateur voit parfaitement dans cette zone et peux utiliser les couleurs qui ont été absorbé par son shikai. Les personnes qui sont dans la zone ne voit plus les couleurs, même celle applique par l'utilisateur pendant le bankai.

Avez-vous lu les règles : Vu que je suis Admin, ce point me parait logique.

Test Rp: // Je ferais ça plus tard. Mais je pense que vu la longueur de l'histoire, le test RP n'est pas si obligatoire Razz[/color]
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Ibizaru Kiosuké, capitaine de la 9ème division [Refonte]
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