Désolé de faire 2 postes mais c'est trop long pour 1 seul poste.
Informations personnelles :Date de naissance : 12 juillet 1908Lieu de naissance : Tokyo Date du décès : 1ans Biographie : Tira ne connait pas son enfance excate. Elle a été recueillie très jeune par une famille adoptive. Elle ne connait pas sa véritable famille. Elle se rappelle de quelques souvenirs qui viennent sous forme de flash violent. Elle ne se rappelle que de choses tendres dont une chanson magnifique et qui parle de l’amour qu’une mère pour sa fille. Voici la chanson:
Je n’ai jamais entendu tes prières
Ni regardé les dessins dont tu étais si fière.
Toute la journée au bureau, à la lessive, au fourneau,
Tenir la maison était un lourd fardeau.
Le soir, je te bordais, vite fait, t’embrassais
Et partais me coucher, fourbue, harassée
Tu aurais aimé que je reste là, près de toi
Et que dans tes boucles, je pose mes doigts
Tu aurais aimé que je te lise une histoire,
Mais ton beau livre n’est jamais sorti de l’armoire.
Je n’ai pas su goûter ces instants précieux
Où nous aurions pu avoir tant de bonheur nous deux.
Tu as grandi là, à côté de moi,
Jour après jour, mois après mois.
Je n’ai vu tous ces changements
Qu’à la taille de tes vêtements.
Chaque fois que tu voulais me parler,
Je disais :« Je n’ai pas le temps, demain ! »
Mais maintenant, tu t’en es allée
Et mes jours sont devenus vides et sans fin.
Les années sont passées aujourd’hui, j’ai du temps
Mais il est trop tard, tu n’est plus là maintenant
Ta chambre vide attend mes petits enfants
Et le livre d’histoires est sorti, à présent.
Pendant mes longues siestes, je ferme les yeux
Et j’essaie de refaire le chemin en arrière :
Je t’imagine, jouant, criant, récitant des prières ;
Je te presse contre moi, remets de l’ordre dans tes cheveux…
Puis je me réveille, seule dans cette maison
Devenue désormais une tombe, une prison.
Tu es partie, sans un mot, sans dire où tu allais
Je n’entends plus ton rire, ni le bruit de tes pas dans l’allée.
Si tu savais combien j’ai de peine
Tu reviendrais pour que je te dise : « Je t’aime ».
Ma fille, toi dont je suis si fière,
J’ai honte de n’avoir point su être une mère.
Elle est pourtant petite quand elle l’a entendu, mais cette chanson respire l’amour et la tendresse. Elle se sent comme si elle connaissait déjà cette chanson depuis toujours même avant qu’elle soit née. Lorsqu’elle est triste, c’est toujours auprès de cette chanson qu’elle se réfugie. Elle possède un pouvoir immense sur Tira. Elle a le don de lui apaiser son cœur et l’orienté dans la bonne direction. Elle n’a jamais parlé de cette particularité au gens qu’ils l’entourent. Même si elle savait que l’amour de sa mère à travers cette chanson est quelque chose de noble. Elle avait peur du regard des autres. S’exhiber trop envers des inconnus est dangereux. Elle sentait qu’elle pourrait passer pour quelqu’un de faible. Elle ne pouvait se le permettre. Elle sentait quand ouvrant un petit peu son cœur son univers pourrait basculer et cela pourrait devenir dangereux pour elle. Elle garda donc le secret de sa mère au fond de son cœur. Cela arrive qu’elle chantonne la chanson mais sans les paroles. Elle devient très gêné lorsque quelqu’un lui fait remarquer la chanson. Elle trouve rapidement une excuse en disant qu’il s’agit d’un musique qui fait un tube dans le monde des humains
La famille adoptive s’appelait Himin. Mais, elle savait que ce ne fut pas sa vraie famille depuis toujours à cause de ces mêmes flashs. La famille croyaient dure comme fer qu’elle n’avait pas conscience de son ancienne vie. La fille qui connaissait la vérité se refusait de divulguer ses connaissances avec sa famille adoptive pour éviter de leur créer quelconque problèmes. Elle croyait qu’ils lui révèleraient la vérité un fois plus grande. Une vérité qu’il n’est jamais arrivé.
La fille vécut une enfance triste dans le village de la soul society. Le village contenait passablement de voleur et la nourriture se faisait rare. Le village n’accepte qu’une seule et unique loi. La loi du plus fort. Elle trouvait injuste que les shimigamis de la soul society soient aussi indifférent du sort des gens qu’ils sont sensés protéger. Elle ne le dit pas et ne le montre pas mais cette situation l’horrifie et fait naitre en elle un sentiment d’injustice. Elle se souvient très bien qu’elle a dut remuer la poussière pour trouver des simple graines pour tromper la faim. Elle se rappelle aussi avoir volé des fruits et des légumes sur le marché et les punitions qu’elle a reçu lorsque le marchant arrivait à la rattraper.
Sa famille adoptive était comme la plupart des familles de la soul society. Elle était pauvre mais se forçait à nourrir leur petite protégé à leur dépend. Ils prirent un long moment pour lui apprendre le concept de justice, du bien et du mal. Quelque année plus tard, sa famille adoptive mourut. Par chance Tira était devenu assez grande pour réussir à ce débrouillé seul. Plus les jours se succédaient, plus la tristesse envahit le corps de la fille. Elle commençait à devenir fragile mentalement et pleurait facilement toute les nuits. Elle trouvait la situation injuste. Elle voulait retourner sa haine contre les shimigamis et leur mettre leurs fautes sur le dos. Mais, elle se rappelle des mots de ses parents adoptifs. Ils lui disaient que si une situation est injuste, il n’est pas tout le temps nécessaire de trouver un bouc émissaire. Ils répétaient qu’il n’est point concevable de se laisser attirer par la haine et la colère. C’est généralement lorsqu’on laisse aller son cœur vers des situations négatives que viennent les plus grandes tragédies.
Vers ses vingt ans, elle retrouva un portrait de son père caché dans les affaires de voyage de sa mère adoptive. Elle reconnaissait le visage sur la photo comment si elle l’avait toujours connue. Elle se dit que ce fut le moment d’aller le chercher et qu’il n’était peut-être pas mort. Elle trouva dans le village quatre hommes qui connaissaient l’homme sur la photo. Il disait que c’était un démon, un être diabolique. Ce n’est pas un hollow mais plutôt un shinigami qui avait soif de sang. Il aurait tué plusieurs autres shinigamis. Elle finit par demander si l’homme sur la photo est bien vivant. Elle ne reçut que des les réponses floues ou des haussements d’épaule.
Elle méditait plusieurs soirs de suite. Elle se demandait si la quête de ses vrais parents fut une bonne chose. Elle avait peur que ces parents n’étaient pas les gens noble qu’elle avait connus ou qu’elle voulait connaître. Elle se plongea dans ses souvenirs et entendit une phrase qui ne la quitterait plus jamais. Cette phrase était : tournoie Aiselne Drosseln. Elle se releva la tête et répéta ses mots. Un sabre magnifique apparaissait sur sa main. Tira se rappelait de ceux que disait les marchant sur les shingamis. On raconte que les sabres des shinigamis ne sont pas faits de la forge mais d’un esprit. Elle se demandait si inconscionnellement elle était devenue shinigamis. Elle répéta le mot « aiselne Drosseln » et la lame se mit à vibrer. Tira n’avait alors aucun but et prit l’apparition de son épée comme un signe. Elle alla se présenté pour devenir shinigami le lendemain.
Elle commença sa scolarité de shinigami. Elle se refusait de porter le kimono. Elle avait encore une légère haine envers les shinigamis qui n’aident pas le peuple de la soul society. Elle trouvait aussi (question d’esthétique) que le costume shinigami était simplement trop ample pour se battre correctement. Elle avait reçu beaucoup de punition mais se refusait de porter le costume. Un jour, plus rien, comme si c’est professeur connaissait son histoire, ils déclarèrent qu’elle portera le kimono quand son cœur sera prêt. Elle était devenue bonne élève, plutôt dans les premiers. Elle n’était pas un phénomène mais une très bonne élève. Elle était devenue une sorte de mascotte à cause de son costume rouge. Elle entendit des critiques des familles de nobles mais s’enfichait pas mal de leur dire. Elle devient rapidement un shinigami qui intégra l’une des équipes du Gotei 13. Elle cherchait comment elle pouvait rendre le monde heureux. Elle le cache mais ses pensées sont perdues par de multiples interrogations. Elle se contentait de suivre les ordres en attendant de devenir plus forte. Elle voulait plus suivre la trace de son père qui serait surement un criminel de peur d’être déçue.
Division souhaité : euh peu importeDescription du Zanpakutoh : Une fois libéré, l’arme prend l’apparence d’un Chakram géant. Le chakram est appelé l’anneau de la mort pour une bonne raison. Il s’agit d’une arme rapide. Il possède autant d’agilité qu’un sabre et autant de force qu’une hache. Elle sert aussi parfaitement de bouclier géant pour se protéger de multiples attaques. Le principal désavantage est qu’il demande beaucoup de temps pour être maitrisé. En effet, le contrôle de cette arme ne se pas facilement. Cela demande du temps, de la concentration et de la patience. Le pouvoir de son arme intervient lorsque Tira la fait tournoyé très rapidement autour de son bras. Son arme devient légèrement transparent et peu presque totalement disparaitre de l’œil humaine. A cause de sa forme aérodynamique (similaire à une aile d'avion), il était peu dévié par le vent. Le vent est également l'élément qui concerne le pouvoir de l'aiselne Drosseln.
Lorsque la lame tourbillonne, Tira peut faire appelle à un sort spécifique pour son arme. Le nom du sort est « Les cents aiguilles ». L’invocation est assez lente. Elle permet de faire souffler un vent assez fort sur l’adversaire. Cela permet d’immobiliser sa position. Ensuite de multiples aiguilles invisibles se jettent sur l’adversaire. Les aiguilles sont créées à partir de la compression de l’air. Ces minuscules masses d’air s’étire rapidement pour atteindre la forme d’aiguilles. Cela à beau être que le l’air compressé. Le receveur est sûr que les projectiles qu’il reçoit est des aiguilles en métal. L’attaque en elle-même n’est pas mortelle, mais, elle provoque un fort saignement chez l’adversaire.
Elle possède une deuxième arme qui n'a rien avoir avec l'arme principale. Il s'agit de griffe en fer qui a une double utilité. La première est de se protéger de sa propre lame quand elle prend son arme. La deuxième est pour pouvoir répliquer au corps à corps qui est l'un de ces points faibles.
Shikai : Kesako ???Bankai : Aiselne Drosseln le Serpent des vents. L’anneau de la mort se sépare en deux parties pour former une sorte de serpent. Il est capable de se déplacer et attaquer. Il est très rapide et agile. Comme le aiselne, il peut refléter une partie des rayons du soleil et en bougeant rapidement il devient presque invisible. Ce n’est pas un grand Bankai en terme de taille. C’est l’agilité, la vitesse et la longueur du serpent qui fait la différence. Avez-vous lu les règles : Kenji s'est encore bourré au Saké et Tira se saoule avec lui.
Test Rp: