Nom :Del Swank
Prénom :Nelieru
Âge : //
Sexe : feminin
Informations personnelles:
Taille/Poids :1m75 pour 65 kg
Groupe sanguin : Inconnu
Couleur de cheveux : Vert
Couleur des yeux :Marron
Description Physique:
Sur la tête de Nelieru repose un masque. Celui-ci semblable à un crâne de bête est brisé sur le coté laissant ainsi apparaître à l’œil nue un masque presque enfantin. Sur son visage est inscrit un maquillage rougeâtre. Cette marque en forme de trait recouvre son nez est souligne ses grands yeux. Nous pouvons aussi signaler une cicatrice naissant au niveau de son front et descendant jusqu'à son nez.
Description Mentale:
Elle erre dans le désert du Hueco Mundos sans savoir vraiment où elle va. Peureuse elle s’enfuit au moindre danger vu qu’elle est dans l’incapacité de se défendre et donc encore moins de protéger quiconque.
Mais pourtant lors de sa confrontation au côté de Kurosaki-kun contre Noitora, celle-ci recouvre soudainement la mémoire et récupère l’espace d’un instant son apparence normale. A ce moment précis du manga, la jeune fille qui quelques secondes avant pleurait abondement sur le corps meurtri d’Ichigo, se retrouvait être un atout très avantageux pour la bande de shinigamis . En effet devenu sérieuse et audacieuse ; Nelieru prend toute son ampleur d’ex-tercero espadas. De ce fait nous pouvons donc rapidement conclure que la mentalité de Nell, vire du noir au blanc suivant son apparence physique.
Informations personnelles :
Date de naissance : Inconnu
Lieu de naissance : Hueco mundo
Date du décès : Inconnu
Biographie :
Le temps passe, s’achève, mais jamais il ne s’arrête. Tout commença lors d’une belle journée d’avril. Comme tous les matins, la jeune fille se levait, s’habillait, et enfin était prête pour entamer sa journée. Accommodée de son sac de cours, et autres affaires tels que sont repas pour la journée, Nelieru partez tranquillement en direction de son lycée. La jeune fille toujours souriante et pleine de vie, habitait avec sa mère. En effet quelques années auparavant, celle-ci dû supporter avec sa génitrice la mort de son père lors d’un accident de la route. Désormais elle était au lycée, en dernière année. Considérée comme la meilleure élève du lycée, beaucoup de personnes étaient attirés par son agréable gaîté et ses conseils. Ce matin là tout se passa pour le mieux, les cours de matinée furent intéressants, mais la plus part des élèves attendaient patiemment l’heure du repas. Dès lors l’une de ses camarades de classe proposa à la jeune fille, de venir faire un tour après que leur journée s’achève pour profiter du temps magnifique dans le parc avoisinant. Sans aucune hésitation Nell accepta l’offre.
Il était désormais 4h de l’après midi, et une grande majorité des étudiants sortirent par le grand portail du lycée. Tous papotaient entre eux, décidant de se que serait le planning de leur journée. Nelieru en faisait partie, elle marchait tranquillement aux côtés de sa camarade de classe, tout en se dirigeant vers l’endroit où elles comptaient passer la fin de la journée. Après quelques longues discussions et autres rafraîchissements, la nuit commença à tomber dans le lieu où les deux jeunes filles se situées. Affolée par l’heure tardive qu’il était, elles voulurent se dépêcher pour enfin rentrer à leurs foyers respectifs. Pourtant ce soir là tout ne se passa pas comme prévu.
Lorsqu’elles arrivèrent en face du portail, elles purent avec frayeur découvrir que celui-ci était fermé, désormais, il ne leur restait plus qu’une seule solution pour sortir de ce lieu qui la nuit paraissait lugubre. Mais celle n’était pas des moindres. En effet à l’autre bout du parc se située une sortie. Mais accolé à celle-ci, se trouvait le quartier le plus dangereux de leur ville. Personne n’osait s’y aventurer la nuit, faute de sécurité dû à la présence de gangs. Pourtant il ne leur restait que cette possibilité. Apeurée, elles arrivèrent aux portes tant redoutées lorsqu’elles purent apercevoir avec terreur l’arrivée de plusieurs bandits, plus ou moins dangereux.
Les hommes commençaient à les encercler pour s’amuser avec elles. L’amie de Nell supplia maintes et maintes fois ceux-ci de les laisser passer. Pourtant ils n’étaient pas du même avis. Nelieru tenta de protéger sa camarade contre les avances douteuses que certains hommes tentaient de lui faire subir. Puis contre toute attente, ils commençant a vouloir passer à des choses peu catholiques. Pourtant courageuse autant qu’elle le fut, Nell tenta de se défendre elle et sa camarade, en vain. Puis un homme d’une cinquantaine d’années arrêta le massacre leur disant de partir d’ici au plus vite. Suivant les conseils de celui-ci les deux jeunes filles commencèrent à courir dans la rue. Mais le jeu de ses hommes ne s’arrêta pas là au moment où l’amie de Nelieru les traita de tous les noms possibles dans sa course. Irrités par cette offense l’un des hommes sortit une arme et tenta de tirer sur celle-ci. Pourtant au dernier moment, Nelieru s’interposa et reçue la balle en pleine tête.
Quelques secondes après, la jeune fille aux cheveux verts se releva, elle n’était donc pas morte ? Que s’était-il passé. A ce moment précis elle pu observer sur son torse une chaîne brisée, Nell voyait son corps inerte étalé sur le sol où elle avait reçu la balle. Affolée par ce-ci elle commença à hurler auprès de sa camarade lui disant qu’elle était là, qu’elle n’était pas morte, mais pourtant il lui fallu bien avouer la vérité. Dès lors elle voulu rentrer à sa maison pour voir sa mère. Arrivée là-bas des policiers annoncèrent à la mère la perte de sa fille. Ce fut un choc pour elle qui se retrouvait désormais seule.
Cela faisait quelques nuits que la jeune fille errée dans les rues depuis sa mort. Pourtant un soir, un bruit se fit retentir tout près d’elle. Une forme gigantesque s’abattue sur elle. Nell n’en croyait pas ses yeux, une bête haute de 5 mètres portant sur son visage un masque l’observait depuis les buissons. Apeurée la jeune fille aux grand yeux, commença à courir dans les ruelles sombres de la ville. Mais la fuite était perdue d’avance… Au détour d’une rue elle pu observer l’arrivée d’un homme habillé d’une tunique noires et armé d’un sabre. Celui-ci lui criait dessus, en lui répétant de partir loin. Mais sans qu’elle ne puisse rien faire l’homme fut abattu par le monstre. Lorsque celui-ci s’approcha d’elle, Nell se retrouva dans un autre monde. Un monde sombre où le soleil d’existait plus et où la terreur régnait. Plusieurs monstres semblables en partie à celui qu’elle avait rencontrée, apparurent. Jusqu’au moment où ils se jetèrent tous dessus.
Une haine intense parcoura le corps de la jeune fille, des sentiments, de dégoûts et de méchancetés qui n’existaient pas dans son esprit, prirent place dans celui-ci. Quand Nell ut reprit connaissance, son corps avait complètement changé, désormais elle s’accommodait d’un corps de bête. L’image qui lui vint à l’esprit fut celle d’un centaure. Elle ne comprenait pas se qui lui arrivait, jusqu’au moment où un autre de ses monstres lui expliqua toute l’histoire. Elle était devenu ce qu’ils appelaient un Adjuchas. Un monstre qui avait pour mission de dévorer les âmes errantes pour ainsi se repentir des peines qu’il avait subit.
Suite à cette histoire des années passèrent. Désormais elle remplissait sans remords ses fonctions. Nell était devenue un de ses monstres. Un jour lorsqu’elle se promenait dans leHueco Mondos, elle tomba né à né face à un hollow qui contre toute attente voulait tuer deux de ses congénères plus faibles que lui. Celle-ci qui avait pourtant gardée des valeurs tua l’ennemi de ses deux jeunes hollows. De ce fait tous les trois devinrent des amis proches et continuèrent leur route. Mais ce que la jeune fille ne savait pas c’est que son histoire allait évoluée, qu’elle deviendrait bientôt une pièce importante de l’échiquier dont elle faisait désormais partie.
Race souhaité : Arrancar/adjuchas/ex espada n°3
Nature du pouvoir : La technique special de Nell est le double cero, elle avale le cero de l'ennemi et le combine au sien.
Forme libéré du Zanpakuto : Nell prononce "Chante Gamuza". Sa résurrection lui donne clairement l'apparence d'un centaure.
Dans cette apparence Nelieru possède un genre de lance à deux piques qu'elle peut envoyer avec une vitesse foudroyante sur son adversaire.
Test Rp:
Le hueco mundos, ce lieu où la mort remplissait chaque respiration, où le temps semblait figé et où les hollows définissaient leur loi. C’était ici que se trouvait une jeune femme aux allures resplendissantes, à la chevelure verte et au regard profond. Elle se tenait tranquillement sur les bords d’une structure de pierre blanche, regardant avec mépris le désert qui s’offrait à elle. Un vent froid balayait la terre, faisant voltigeait d'autant plus, poussière ou autre débris environnants qui offrait à son regard un ballet rarement chorégraphié. Le ciel comme perçait par l'on ne sait qu'elle puissance déversait sur le sol son liquide transparent. Celui-ci ruisselait sur la terre habituellement sèche de ce monde unique, formant petit à petit une sorte de boue visqueuse aux pieds de le l’édifice qui servait de support à la silhouette gracieuse de Nell. Mais désormais dans l’esprit de la jeune protagoniste le temps n’était point important pour elle. En effet, prolongée dans ses pensées, celle-ci perdait son regard au loin.
L’on aurait pu tirer de cette image, un tableau donc le centre se définissait par le personnage et dont le calme apparent du décor remplissait, puisqu’il le fallait, le reste de la toile blanche. Habillée par cette veste blanche qui recouvrait son corps et faisait doucement ressortir ces formes, Nelieru se leva doucement. Comme appelés par le vent, ses cheveux verts se développaient dans son dos.
Soudain un bruit vint la ramener à la réalité. Intriguée par cette soudaine apparition, la jeune arrankar se retourna brusquement, lorsque contre tout attente, se tenant fermement devant elle, Noitora fit son entrée dans le cadre poétique du lieu. Son sourire narquois semblait défier les grands yeux de la jeune fille. Une sorte de haine réciproque c’était depuis peu installée entre les deux personnages. Le 8ème espadas, complètement jaloux de la jeune fille, lui offrait chaque jour une confrontation perdue d’avance. Ainsi il espérait remporter une fois la victoire contre elle.
La jeune femme s’avança vers l’homme angoissé. Elle le regarda attentivement. Comme à son habitude, l’espada, s’accommodait de ses habits blancs, ainsi que de son arme favorite. En effet son zanpakuto différait totalement de la plus part des arrankars présents ici. En effet, il se définissait tel deux faux en forme de croissant de lune. De la même manière, Noitora débuta par jacasser des propos pitoyables, pensant qu’en un jour il était devenu supérieur à celle-ci, qu’en un jour il venait de découvrir le point faible de son adversaire. Ainsi, la jeune femme restait désormais impassible à n’importe quelle phrase que le 8ème espada prononçait. Son regard n’était en aucun cas porté sur le nouvel arrivant, non elle préférait observer attentivement se désert qui à tout moment devenait son confident.
Soudain, dans l’afflux du monologue de Noitora, la jeune femme jeta un regard froid à l’égard de son locuteur. Elle le coupa ainsi dans son élan de fougue le laissant ainsi béat devant ses propres paroles. Le visage de cet homme devint ainsi figé comme s’il s’attendait à recevoir un offensive dangereuse. Pourtant la jeune femme ne fit que se retourner en sa direction. Un silence pesant fit alors son apparition entre les deux protagonistes. Le vent soufflait encore, crachant ainsi quelques bourrasques sur la face de l’homme à la grande faux. La pluie toujours omniprésente battait le sol comme si elle se trouvée être en accord avec les pensées noires de Nell.
« Tu ne te tais donc jamais ? Regardes-toi, tu es pitoyable. Penses-tu vraiment pouvoir me battre ? Nos rangs sont largement séparés par de nombreuses personnes. Cela ne te gêne tant que ça ? Je n’ai pas que ça à faire que de te t’écouter gémir des absurdités, laisse moi donc passer. A part si tu veux recevoir la même défaite cuisante que hier. »
Le ton presque provocateur qu’employait Nell ne pouvait sûrement qu’affûter la haine que ressentait Noitora à son égard. Mais celle-ci n’y prêta guère plus d’attention qu’a une simple mouche qui bourdonnerait autour d’un cadavre putride. Elle préférait user son temps dans d’autres affaires qui à ses yeux formaient un passe-temps plus apréciable.
Pourtant malgré les propos judicieux que lui conseilla Nelieru, l’homme n’ut que faire de ceux-ci. Totalement plongé dans son désir de vengeance, il n’ut d’autre possibilité que d’employer la force. Cause perdue d’avance mais qui lui tenait à cœur. Ainsi, il tenta une approche frontale simple, engageant une lutte démunie de sens. Son zanpakutô qui se dirigeait vers la tête de Nell, fut rapidement stoppé par la propre épée de celle-ci. A peine sortir de son fourreau la lame tranchante redirigea la faux vers un mur environnant.
Le choc fut conséquent et la fumée qui venait d’apparaître mit un moment à se dissiper. Que c’était-il passé ? Bien évidement la belle arrankar, n’en avait que faire, elle ne promettait pas la vie sauve voir même un combat sans dégâts. Il ne cherchait que ça se faire aplatir et de ce fait elle exauçait ses vœux. Une fois que les débris qui quelques instants auparavant volaient dans l’air ambiant, furent retombés au sol, la jeune femme pu observer l’état de son adversaire. Un liquide rougeâtre coulait le long de son visage ovale, illustrant le choc qu’il avait subit. Mais sans attendre, il voulu déployer toute l’étendue de sa force, offrant aux grands yeux de l’arrankar un spectacle resplendissant. Pourtant avant d’entreprendre cette représentation, il n’ut d’autre choix que de reprendre son souffle. Sa respiration se trouvait être haletante, l’empêchant de faire sa résurrection à l’instant même.
*Noitora que cherches-tu à prouver, tes affronts sont dépourvus de sens…*
Avant que celui-ci ne continue son offensive désespérée, la jeune femme se retourna, elle ne voulait en aucun cas devoir déployer sa force pour une personne qui n’en valait pas la peine. Ses cheveux resplendissants, firent alors face au visage démunit de l’homme qui s‘apprêter à utiliser son plus grand atout. A ce moment précis juste avant que Nell disparaisse de son champ de vision, celle-ci s’arrêta. L’atmosphère ployait sous ce silence pesant. Qu’allait-il bien se produire, pourquoi quittait-elle l’affrontement, telles étaient les questions qui s’entrechoquées dans l’esprit de Noitora. Soudain dans un mouvement fluide, elle jeta un dernier regard sur son adversaire et lui dit calmement ;
« Un affrontement qui n’a ni but, ni raison ne peut aboutir qu’au dérèglement de l’homme lui-même penses-y… »